Gauthier Hiernaux a lu Rue Baraka de Carine-laure Desguin
J'ai lu Rue Baraka de Carine-Laure Desguin
De Carine-Laure Desguin, je ne connaissais, au départ que le nom.
Ensuite, nous nous sommes contactés, pour une histoire de référencement, si j'ai bonne souvenance. Elle m'a répondu de manière à la fois très précise, à la fois très enthousiaste. Je pense que c'est exactement ces deux termes qui la caractérisent : enthousiaste et précise.
Carine-Laure est le genre de personne qui, j'en ai la conviction, aime faire plaisir et délivre ses bienfaits avec un immense plaisir. Elle est à l'image du vieux peintre et de sa compagne face aux « Tarek » que nous sommes ou que nous pourrions potentiellement être.
Comme d'autres avant moi, j'ai lu RUE BARAKA.
Est-il utile de souligner l'évidence ? Dois-je insister sur l'optimisme qui se dégage de chaque page de cet ouvrage, très court et fulgurant, publié il y a quelques mois chez notre éditeur commun ?
Lorsque je lis les critiques publiées de manière régulière par des aficionados de Carine-Laure, je me rends compte qu'ils sont déjà tout dit.
Du livre, bien entendu.
Ses qualités intrinsèques, nous sommes tous d'accord. RUE BARAKA déborde d'optimiste, d'optimisme contagieux qui, comme je l'ai déjà lu, devrait être vendu, sans prescription en pharmacie.
Nous n'oublierons pas de sitôt les trois personnages principaux du récit qui, s'il peut être lu en quelques heures, se déroule dans notre tête des jours après, encore et encore, comme le refrain d'une chanson. Le refrain de Carine-Laure, c'est la recette du bonheur, du « mieux-être », du repas de Noël dans une famille unie.
Merci Carine-Laure pour cette piqûre de rappel, au combien salvatrice, qui nous rappelle que le bonheur est à portée et qu'il suffit parfois. de le saisir.
GAUTHIER HIERNAUX
grandeuretdecadence.wordpress.com