Le feu couve, un poème de Micheline Parmentier

Publié le par christine brunet /aloys

parmentiertete

 

Le feu couve

 

 

 

 

 

 

 

Le feu couve sous la glaise

La terre enchante le potier

Ses mains touchent pour créer

La forme habitée de braises

 

 

Du vase sacré monte une prière

Le feu premier demeure mystère

Le second couve sous mes doigts

Laisse des traces de mon émoi

 

 

Le murmure ne s’arrête pas

Il s’embrase et résonne en moi

Quand mon coeur brûle pour Toi

L’amour incendie tout tout bas.

 

Micheline Parmentier

 

parolesnues

Publié dans Poésie

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P
<br /> Sensualitéet rytme pour ce très beau poème ;<br /> <br /> <br /> Bravo !<br />
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C
<br /> Mon com. ne s'affiche pas : je le remets.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> j'aime cette belle allégorie, bien rythmée.<br />
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C
<br /> Mon com. ne s'affiche pas : je le remets.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> j'aime cette belle allégorie, bien rythmée.<br />
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C
<br /> J'aime cette belle allégorie, bien rythmée.<br />
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E
<br /> MMmmmh! En voilà des choses qui couvent... Beau!<br />
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C
<br /> De bien jolis mots que l'on pourrait ressortir vers le 14 février ...<br />
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