Monique l'Olivier-Huet se présente et présente son roman "Photo de classe, étincelle de vie"
UNE COURTE BIOGRAPHIE ?
Mariée, 2 enfants et 4 petits enfants. Relation précieuse avec chacun.
Après mes études de psycho, j’ai fait un passage d’environ 10 ans en industrie au service du personnel.
En même temps j’assistais un médecin dans un centre social pour des consultations médico-pédagogiques.
Ensuite, j’ai travaillé durant de longues années comme logopède indépendante.
Parmi les différents sujets à traiter, celui de la dyslexie m’a beaucoup intéressée.
J’ai écrit « photo de classe, étincelle de vie » roman mi-réalité, mi-fiction pour donner la parole à un grand-père, ancien dyslexique, qui se souvient de ses difficultés d’adolescent.
Actuellement j’ai cessé mes activités professionnelles.
Dans le cadre d’un réseau d’échanges de savoir, je rencontre des étrangers adultes avides d’apprendre le Français pour pouvoir s’intégrer
« Photo de classe, étincelle de vie »
édité chez Chloé Des Lys.
Roman.
La vie à partir d’une photo.
Album photos datant des années 1930-1960 trouvé lors d’un déménagement.
Grâce à la photo traditionnelle effectuée dans l’enseignement primaire, deux enfants que tout opposait, apprennent à se connaître.
Facilités d’apprentissage et milieu social sont bien différents pour Jean et Louis.
Mais au cours de leurs rencontres, leurs escapades et leurs jeux, une connivence s’installe entre eux. Ils se confient l’un à l’autre et deviennent de vrais bons amis.
Histoire née de mon imagination mais nourrie de mon expérience de logopède.
Sous les traits de Louis retraçant son parcours, je désire témoigner des difficultés de vie décelées chez des enfants et adolescents dyslexiques lorsque les problèmes sont importants : souffrances cachées, doutes, difficultés à se construire.
Tout au long du récit, j’insiste sur les ressources de chacun, leur aide réciproque et l’amitié qui les soude.
Les échanges de correspondances romancées entre Louis et Juliette racontent les événements de la vie qui transforment un gamin en grand-père et montrent comment certains d’entre eux, des plus lumineux aux plus douloureux, restent présents dans un coin de mémoire, prêts à resurgir à la moindre sollicitation.
Livre d’amitié, d’espoir et de confiance en la capacité de l’humain à aller au-delà des petites souffrances quotidiennes et des grands moments de révolte intérieure.
Quelques extraits ?
" Moi, en maths tout va bien et ça m’amuse. Mais en français c’est la catastrophe. Oh ! Ce n’est pas nouveau, ça fait trois ans que ça dure ! Je vous explique. Quand je suis entré en première, j’étais sûr de lire très vite. C’est mon grand-père Oscar qui me l’avait dit…."
"L’horizon à perte de vue me donne des ailes. Je me sens libre et conquérant. Chemins étroits, terreux et herbeux sont un défi à relever, je n’en ai pas l’habitude. On roule le plus vite possible pour se défouler. Dès que le terrain le permet, on se dépasse, on se surpasse, debout sur les pédales pour avoir plus de force. On dévale les pentes…"