Le temps de l'errance de Jean-François Foulon dans le Bibliothécaire

Publié le par christine brunet /aloys

Le temps de l'errance de Jean-François Foulon dans le Bibliothécaire
Le temps de l'errance de Jean-François Foulon dans le Bibliothécaire

Publié dans articles

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
P
Vive la poésie !<br /> Pour moi la poésie est un habit de lumière que le poète revêt pour dissiper les brumes du quotidien ...<br /> Hélas c'est un genre qui attire beaucoup moins les lecteurs et les éditeurs ;-)<br /> Heureusement le directeur de la maison d'édition Chloé des Lys est aussi un poète !!!
Répondre
J
Heureusement, tu l'as dit ! :)
J
Merci au "Bibliothécaire" d'avoir repris ce livre car la poésie (en général) a bien besoin d'un peu de publicité. De nombreuses personnes qui avaient pourtant apprécié mon premier roman et qui attendaient le second avec impatience ont refusé d'acheter "Le temps de l'errance" dès qu'ils ont su que c'était de la poésie; Pourtant la poésie est tout sauf ennuyeuse. Certes, il n'y a pas d'histoire, mais un regard très personnel de l'auteur sur le monde.
Répondre
R
J'ai découvert ce livre avec un réel bonheur. La poésie y est omniprésente et s'écoule à travers une écriture fluide qui peut étonner, à la fois par sa richesse et le choix judicieux des mots. L'auteur nous entraîne dans des lieux de son enfance et nous fait accéder à son univers. A travers "ses errances, il nous amène à nous questionner sur l'amour, le sens de notre existence et la vanité des choses. Comme je le dis dans une note de lecture qui devrait paraître en avril, dans cet ouvrage l'auteur remet à l'honneur des thèmes chers aux romantiques, l'intensité de sa poésie est telle qu'elle se passe volontiers de la rime, même s'il lui arrive de la taquiner ici et là avec bonheur. bonheurtoujourocherremême chseptTendresse, ce que nous sommes, un peu comme le faisaient les romantiques. J'ai d'ailleurs rédigé une note de lecture qui devrait paraître en avril
Répondre
J
Ta réaction me fait énormément plaisir. Qu'est-ce qu'un écrivain peut souhaiter de plus que des lecteurs enthousiastes ?
R
Les deux dernières phrases sont à supprimer. Je croyais les avoir effacées... Toujours aussi maladroite !!!! Mon commentaire s'arrête à avec bonheur.
E
Aaaaaaaaaaaah l'Eau noire et l'Eau blanche, les eaux de mon enfance aussi... la veine familiale, puisqu'un jour lointain un certain Théodore acheta un moulin à tan dans le Namurois, planta des tilleuls le long de l'eau blanche, et installa la tannerie dont le souvenir nous tanne encore... <br /> <br /> Et Bruxelles, oui, "la capitale" où on découvrait avoir un accent. Et un parler qui puait sa douce province, que l'on s'empressait de glisser sous le tapis pour dire, comme tout le monde, c'est gai tsééééééééééé! :)
Répondre
J
J'ignorais que le Verviétoise que tu étais avait flâné le long de l'Eau blanche.
M
Cette "errance" semble dépasser toutes les frontières et les fameuses références colorent déjà ces voyages. On ne peut qu'avoir envie "d'embarquer" ! Bravo !
Répondre
J
@ Marie-Noëlle : c'est d'ailleurs le propre de la poésie de ne pas s'arrêter aux frontières habituelles.:)