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"La concession Bahine" de Jean Dallier dans Le bibliothécaire

Publié le par christine brunet /aloys

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"La concession Bahine" de Jean Dallier dans Le bibliothécaire

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Un article dans la presse pour le premier roman de Chloé Derasse "Douceur violette"

Publié le par christine brunet /aloys

 

«Le lecteur a lui aussi sa part de chemin à effectuer, à la découverte d’un texte.» ÉdA

Porté durant quelques années, l’ouvrage de la jeune auteure sera présenté dans sa ville natale. Place à la découverte.

L’écriture fait partie de sa vie, depuis l’enfance. Chloé Derasse inventait des histoires pour ses frère et sœurs, rédigeait des textes dans un carnet, poèmes et récits. Adulte, elle s’est lancée dans un projet au long cours, un roman qui trouve sa source dans un fait difficile à cerner.

«Je me souviens qu’une gamine avait inventé qu’un de ses proches l’avait violée. Bien sûr, c’était énigmatique, inquiétant. La question demeurait en suspens: a-t-elle interprété certains gestes, a-t-elle imaginé ou vécu une telle situation, quelle réalité se cache derrière cette accusation grave?»

La part du lecteur

En écrivant «Douceur violette», Chloé ne souhaitait pas s’engager sur la voie du roman policier, ni dans une saga psychologique. Ce qui l’intéresse, c’est le quotidien des personnages, et particulièrement celui de deux sœurs. Emma et Marie sont plutôt complices, tout en vivant des jours bien différents. En avançant dans l’existence, elles accordent beaucoup de place à l’amour, qu’il soit perdu ou vivace, passionné ou serein.

Les rencontres qui traversent leurs parcours sont teintées de sincérité. «Toutes deux cherchent une stabilité, un enracinement, précise l’auteure qui situe son histoire dans un quartier de Watermael-Boitsfort. L’une peut s’appuyer sur son compagnon, l’autre, jeune maman, espère aussi une relation durable. Si une dispute oppose les deux femmes, une réconciliation suit bien vite. C’est alors qu’est suggérée la faille de l’enfance. Simplement suggérée, sans certitude. Parce que finalement, on ne saura jamais quel drame a eu lieu. Il est vrai que je ne souhaite pas que le lecteur ait une réponse servie sur un plateau. De plus, différentes lectures sont possibles. La réalité est parfois ailleurs encore.»

Le roman invite à s’immiscer dans un foyer, puis dans un autre, et le flash-back répond au présent, rejoignant des épisodes partagés et d’autres, secrets. Le dialogue fait mouche: il révèle les impressions et souvenirs d’un personnage, quelques traits de caractère, permet d’avancer dans une intrigue qui demeure mystérieuse. Les liens se tissent, s’évadent, s’inscrivent entre fragilité et force, traçant des sentiers délicats. Une solide trame porte les expériences solidaires ou intimes, que la narratrice développe par séquences.

L’accusation n’est pas de mise: chaque cheminement se construit plus qu’il ne s’ébauche. «Je m’implique dans ce qui se passe, dans ce qui est relaté,souligne Chloé. Mes personnages me touchent, j’aimerais que les lecteurs soient aussi bouleversés que moi. Rien d’autobiographique dans cette histoire qui me permet d’explorer des relations familiales, jamais étrangères à ce que chacun peut percevoir.»

L’illustration de couverture est l’œuvre d’une autre Tournaisienne, Amarande Rivière, amie de la romancière.

«Douceur violette»: le livre de Chloé Derasse (éd. Chloé des Lys, 25€) sera présenté et dédicacé ce samedi 22 juin à 18 h 30 chez Milypat, 1 Grand-Place. Entrée libre.

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Trois poèmes signés Salvatore Gucciardo sur la plateforme de la littérature contemporaine "PLIMAY"

Publié le par christine brunet /aloys

Veines marbrées

 

Blancheur

De la volute

Le graffiti illustre

Le sfumato de l’âme

 

Fatras d’écume

Dans la bouche

Du chaos

Profondeur

Océane

 

Pourrais-je

Atteindre

Le dôme du ciel

Avant que la neige

S’éternise

Sur les veines du marbre

 

La brindille s’est courbée

Près des portes closes

Faisant fuir

L’oiseau bariolé

 

Où est le ruban carminé

Fixé sur les cheveux dorés

De la sylphide rêveuse

 

La licorne a perdu

Sa corne sacrée

En voulant atteindre

Le mont éthéré

 

La pulsion des ans

 

Mémoire

De vipère

De sang

Et d’eau

 

Toute la toile

Du monde

Sur les lèvres

Gercées

 

Surgit

La pulsion

Des ans

Sur l’enclume

Des émotions

 

On évoque

Le feu d’artifice

La rage olympique

Le poids

Du granit

 

Le grillage

En fer

À l’orée

De l’automne

 

Visage buriné

Volutes

Ébouriffées

Poussière d’os

Et de chair

Semailles

Éparses

 

L’onde vagabonde

 

Ton visage d’odalisque

Aux lèvres pourprées

La verticalité ondulante

De ton nez aquilin

La saillie arquée

De tes yeux

 

La masse touffue

De tes cheveux auburn

Donnent une aura

A ton effigie

 

Rougeur impulsive

Tes joues en feu

Le rêve étoilé

Dans l’éclat

De la nudité

 

Aucun artifice

Dans la poésie

Rien que l’émotion fébrile

Dans l’embrasement

Du corps

 

Comme l’onde vagabonde

Tu te laisses emporter

Par la houle de vagues

 

Codes secrets

Frissons intenses

Ombrée d’ébène

Et de coquelicot

 

Le ressac de la mer

T’emporte

Dans le tourbillon

Fiévreux

 

À propos de l’auteur :

 

Salvatore Gucciardo, peintre, poète, dessinateur et illustrateur autodidacte est né à Siculiana (Agrigento) Italie en 1947. Il vit en Belgique depuis 1955. Il a plus de 45 ans d’activités artistiques. Ses œuvres ont été acquises par le Musée Royal des Beaux-Arts de Charleroi, le Musée des Arts Plastiques et graphiques de Mouscron, par la ville de Bruxelles, la ville de Châtelet, La Province de Hainaut, la ville de Montermurlo (Italie), le Centre Culturel la Posterie à Courcelles, La Région Wallonne, le Musée du Bois du Cazier, Marcinelle.

 

Publié dans articles, Poésie

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Un article sur Salvatore Gucciardo dans "Bruxelles culture"

Publié le par christine brunet /aloys

PORTRAIT : SALVATORE GUCCIARDO, PEINTRE ET POÈTE

 

Artiste d’origine italienne, sa famille émigre en Belgique dans les années cinquante. Enfant passionné et doué, en parfait autodidacte, il a appris seul à dessiner et à peindre. Il étudie l’histoire de l’art et de la littérature. En 1974, il expose au Palais des Beaux-Arts de Charleroi. Il reçoit un accueil chaleureux de la presse qui l’encourage à continuer de peindre. En 1975 Aubin Pasque, peintre fantastique, l’intègre dans le Mouvement Artistique International Fantasmagie dont il est le fondateur. Salvatore Gucciardo a plus de 60 expositions personnelles à son actif. Il a reçu de nombreux prix et titres honorifiques en Belgique et en Europe. Il figure dans plusieurs dictionnaires, anthologies, catalogues, revues littéraires et artistiques, en tant que peintre et en tant que poète.

Il est édité dans plusieurs pays et certaines de ses œuvres ont été acquises par des musées belges, ainsi que par plusieurs villes en Belgique, en Italie et au Luxembourg. Parmi les très nombreux articles de presse qui lui ont été consacrés, on peut lire : « Grâce à un art extrêmement raffiné pratiqué par le Maître Salvatore Gucciardo, le public réalise un voyage à l’intérieur des émotions humaines, émotions mises en valeur par des couleurs créées par une personne dont on ne peut mettre en doute les compétences artistiques »

Son talent fut remarqué par le critique d’art Stephan Rey, alias Thomas Owen. Dès leur première rencontre qui date de 1976, une profonde amitié nait entre l’écrivain, membre de l’Académie royale de langue et de littérature française de Belgique et le peintre, elle durera jusqu’à la mort du célèbre romancier en 2002. Il a fallu cinq ans pour que l’artiste finalise cette pièce maîtresse d’une œuvre qui compte plusieurs centaines de personnages. Salvatore semble nous dire, dans sa vision créatrice, combien prime la relation entre l’homme et la nature.

Son message est une source d’espoir, une quête spirituelle, une communion profonde entre l’homme et l’univers. Sa vision cosmologique est chaleureuse et poétique. Il place l’être humain au centre du monde. Anita Nardon, sociétaire de l’Association Internationale des Critiques d’Art lui consacre une monographie aux éditions Art In Belgium dans la collection « Traces de l’art ». Le peintre est aussi poète. Il a déjà publié plusieurs recueils de poèmes et figure dans plusieurs anthologies de poésie, notamment dans Vingt Poètes, Anthologie de la poésie contemporaine, Editions du Chasseur abstrait, France 2012, ainsi que dans l’anthologie « Les Poètes et le Cosmique » de JeanPierre Béchu et Marguerite Chamon, Editions Du Net, France 2015, de même dans l’anthologie « Les Poètes, l’Eau et le Feu » de J.P. Béchu et M. Chamon, Editions Du Net 2017. Cette passion pour la poésie n’est pas récente. A 17 ans il se passionnait déjà pour l’univers poétique d’Arthur Rimbaud et Charles Baudelaire.

Après deux recueils de poésies « Lyrisme cosmique » et « Méandres » parus aux Editions Chloé des Lys, Salvatore vient de publier son premier roman « Le Voyageur Intemporel », également chez Chloé des lys. Le voyageur intemporel est un voyage initiatique dans le temps, une fresque fantastique, un récit rocambolesque et poétique qui donne une vision insolite et complexe de la nature humaine dans sa nudité intérieure. Voici un petit extrait de ce qu’en dit Denis Billamboz, critique littéraire. « Je suis sorti de ce livre avec l’impression que Salvatore Gucciardo voulait évoquer tous les travers inhérents à la condition humaine et nous convaincre qu’il était inutile de chercher ailleurs une meilleure condition, partout ailleurs le bien et le mal s’affrontent toujours avec violence, et qu’il suffirait peut-être de conjuguer les forces ouraniennes et les forces chthoniennes pour que notre monde soit moins mauvais ». Plongez dans l’univers hypnotique de cet artiste dont on n’a pas fini de parler, en visitant son site : www.salvatoregucciardo.be

Silvana Minchella

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Un article signé Jean-Michel Léost dans "L'Agrégation" pour le dernier roman de Jean-Michel Texier "La confession de Cleve Wood"

Publié le par christine brunet /aloys

  

 

 

 

Après L’Élitiste (2012) et Loozie Anna (2015), notre collègue Jean-Claude Texier publie un troisième roman : La Confession de Cleve Wood. Confession, puisque le narrateur est, cette fois, un jeune professeur d’anglais d’origine britannique : il raconte, avec la pudeur que lui imposent sa réserve naturelle et son éducation religieuse, comme pour retrouver la paix intérieure, sa rencontre avec Hélène, ses sentiments pour cette jeune femme, pianiste de talent, divorcée et mère d’un adolescent, qui a épousé Karl Erhardt, professeur d’allemand devenu aveugle, de vingt ans son aîné, qu’elle avait aimé lycéenne. 

   Rencontre due au hasard, comme beaucoup d’évènements, apparemment sans importance, qui peuvent bouleverser une vie, puisqu’il est accueilli chez ce couple, ami de ses parents. « C’est peut-être la seule au monde / Dont le cœur au mien répondrait… » : ces vers de Nerval reviennent à l’esprit du narrateur. Le prénom de « Cleve » n’est pas sans rappeler la Princesse de Clèves, comme le remarque son proviseur. De fait, il y a quelque chose de tragique et de sublime dans cette histoire. Car ce roman décrit un amour impossible et indicible, le conflit entre l’amour et l’amitié : une union fragilisée entre Hélène et son époux, aveugle et beaucoup plus âgé, la passion de Cleve pour Hélène, qui se heurte aux interdits moraux, la passion d’Hélène pour Cleve. Finalement, Cleve retourne en Angleterre, où Hélène lui écrira, disparaîtra, reparaitra… Laissons au lecteur le soin de connaître, dans les dernières pages, le dénouement et le rôle de Frédéric, le fils d’Hélène, dans cette tragédie. Les derniers mots du roman ouvrent le champ des possibles : raconter son bonheur, même illusoire, est la chose la moins intéressante au monde. »

  Ce roman, dont le cadre principal est encore le lycée Édith Cavell, est également l’occasion de s’interroger sur la vie enseignante, sur les difficultés entre les systèmes français et anglais, sur la relation pédagogique qui s’installe entre le professeur et ses élèves, la joie de la transmission, les difficultés de la tâche, les doutes qu’on peut éprouver.

  C’est enfin une sorte d’adieu de l’auteur aux personnages de sa trilogie, qui lui sont devenus familiers et dont il se sépare avec nostalgie. Confirmation, s’il en était besoin, que la vraie vie et la littérature ont des liens très étroits.

                                                                                           

                                                                                            Jean-Michel Léost

 

                                                         Jean-Claude Texier joue deux passages du roman sur YouTube

Publié dans Fiche de lecture, articles

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Une critique de "La Confession de Cleve Wood" de JC Texier dans le dernier numéro du magazine L'Agrégation.

Publié le par christine brunet /aloys

Une critique de "La Confession de Cleve Wood" de JC Texier dans le dernier numéro du magazine L'Agrégation.
Une critique de "La Confession de Cleve Wood" de JC Texier dans le dernier numéro du magazine L'Agrégation.

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Retour signé Carine-Laure Desguin concernant une soirée consacrée à une mise en voix des textes d'AURA N°100.

Publié le par christine brunet /aloys

Six comédiens, Gisèle Hanneuse, Jacques Marlier, Marianne Bougard, Alessandra Riggio, Sally Ariégo et Isabelle Deliener.

Deux musiciens, Guy Fossoul (guitare) et Christian Veys (violon).

Une chanteuse, Jacqueline Hutsebaut.

La mise en voix et la mise en scène, Marianne Bougard.

Ce vendredi 10 mai 2019, ces six comédiens amateurs ont interprété de façon magistrale les trente-sept textes sur le thème des Portes (AURA n° 100) écrits par les membres du Cercle littéraire Clair de Luth.

Un merci tout particulier à Isabelle Deliener, Jacques Marlier et Marianne Bougard qui ont donné ce mouvement si particulier à mon texte "Je prendrai la porte, comme on dit" (AURA N°100 p. 37) ainsi qu’à mes deux poèmes tirés du recueil en cours d’écriture Chambranles (AURA N°100 p. 23).

Ce récital a eu lieu au Ricochet, rue du Béguinage, 18, à Mons.

Le public était là, très attentif à l’interprétation de ces textes car parmi ce public, de nombreux auteurs.

Chapeau à Laurence Amaury et Gisèle Hanneuse qui ont organisé cette soirée pour célébrer la parution du N°100 de la revue AURA.

Voici quelques photos de cette soirée…

Infos au sujet de mes deux dernières publications :

Le Transfert : http://carineldesguin.canalblog.com/pages/le-transfert--theatre--editions-chloe-des-lys--2018/37214580.html

A chaos, chaos et demi : http://carineldesguin.canalblog.com/pages/a-chaos--chaos-et-demi--editions-la-p-tite-helene--2018/36963717.html

 

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Thierry Delaunois et son roman "Auprès de ma blonde" dans "Bruxelles Culture"

Publié le par christine brunet /aloys

Thierry Delaunois et son roman "Auprès de ma blonde" dans "Bruxelles Culture"
Thierry Delaunois et son roman "Auprès de ma blonde" dans "Bruxelles Culture"

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Salvatore Gucciardo à l'honneur dans la presse avec son "Voyageur intemporel" !

Publié le par christine brunet /aloys

Salvatore Gucciardo à l'honneur dans la presse avec son "Voyageur intemporel" !
Salvatore Gucciardo à l'honneur dans la presse avec son "Voyageur intemporel" !

 

Sudinfo Charleroi

Bienvenue - http://charleroi.blogs.sudinfo.be

LIVRE- Salvatore Gucciardo: "Le Voyageur intemporel" (14/04/2019)

«Je perçois l’être humain dans sa nudité intérieure»

Salvatore Gucciardo signe un roman fantastique et initiatique : «Le Voyage Intemporel». Depuis longtemps, cet artiste de Monceau-sur-Sambre est habité par des questions métaphysiques et cosmologiques.

Fils de mineur -et avant-dernier d’une famille de 16 enfants !-, Salvatore Gucciardo est né à Agrigente (Sicile) en 1947. C’est à l’âge de 7 ans qu’il arrive en Belgique. Après avoir vécu à Charleroi et Jumet, il s’installe à Monceau-sur-Sambre en 1978.

Inspiré dès sa prime jeunesse par les toiles de Modigliani, et tout particulièrement le «Portrait de Haïm Soutine assis» (1916), ainsi que par les œuvres d’Arthur Rimbaud, Salvatore est porté autant sur la peinture que sur la littérature. «Il n’y a rien de plus beau et de plus fort que de mettre des images sur des mots et inversement » affirme-t-il.

L’auteur est connu pour ses nombreuses expositions, dont la dernière remonte au Château de Cartier, ainsi que par ses ouvrages : « Lyrisme cosmique », «Anthologie de la Poésie Humaniste», «Méandres », …

des noms symboliques

Son dernier roman «Le Voyage intemporel» est construit comme un scénario de film. Renato Busso contemple une toile représentant un poulpe géant et une femme nue. Pris d’un malaise, le jeune narrateur se réveille dans un palais somptueux où d’immenses oiseaux soutiennent un plafond. Renato, surnommé Ini par les habitants du Royaume du Soleil, est accueilli par le monstre, appelé Seigneur Magni. Aux côtés du maître des lieux, figure la jeune fille du tableau. Docile et soumise, cette

dernière est fascinée par le monstre. Le Seigneur Magni présente Era au jeune homme. Ebloui par sa beauté, Ini tombe amoureusement fou d’elle, et est guidé dans la découverte du Royaume du Soleil, fief de son père, le Tout Grand Ouros, qui règne en Dieu puissant et unique. S’ensuit une aventure passionnelle aux étranges péripéties…

«Véritable parcours initiatique, «Le Voyageur intemporel » décrit l’homme dans sa nudité intérieure, quelle que soit la période où il vit. Les noms de mes personnages, issus d’une mythologie qui m’est propre, ont tous une symbolique particulière, par exemple Magni pour magnétisme encore Ouros pour « Ouroboros »(en grec ancien), un dessin qui représente un serpent se mordant la queue » poursuit Salvatore. « Ce roman permettra aux lecteurs de percevoir ma vision cosmologique de l’art et de la vie, à travers des grandes thématiques comme l’essence humaine ou encore le mystère et le sens de la vie ». JCH

 

 

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Joël Godart dans la revue LICHEN

Publié le par christine brunet /aloys

Joël Godart dans la revue LICHEN
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