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"Le rivage d'un océan sans terre" d'André Elledoubt dans le Bibliothécaire

Publié le par christine brunet /aloys

"Le rivage d'un océan sans terre" d'André Elledoubt dans le Bibliothécaire
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"Une poule sur un mur" de Marcel DesHauts dans le Bibliothécaire

Publié le par christine brunet /aloys

"Une poule sur un mur" de Marcel DesHauts dans le Bibliothécaire
"Une poule sur un mur" de Marcel DesHauts dans le Bibliothécaire
"Une poule sur un mur" de Marcel DesHauts dans le Bibliothécaire

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"Le ressenti", une poésie signée Salvatore Gucciardo parue dans la revue "Magie poétique"

Publié le par christine brunet /aloys

"Le ressenti", une poésie signée Salvatore Gucciardo parue dans la revue "Magie poétique"

 

 

Le ressenti

 

 

Je connais le hurlement du vent

Dans les plis de la pierre

L’épaisseur de la brume

Dans la profondeur des yeux

 

Je connais le poids  de la nuit

Au sein de l’écume

Le frissonnement de la terre

Dans la sève de l’écorce

L’attrait des nuages

Sur l’onde vagabonde

L’embrasement des sentiments

Dans la rougeur de la cendre

 

Je connais la fusion du ciel

Avec le feu de la roche

L’ondulation des ondes

Dans la chair des vagues

 

Je connais l’exaltation  de l’argile

La fragilité des bourgeons

Dans la dérive des âmes

L’étalement de la fange

Dans la carte du rêve

Les nœuds de l’espérance

Dans la bouche du volcan

Publié dans articles, Poésie

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Le blog "Les lectures de Maryline" a chroniqué "Mademoiselle cherche le soleil" d'Alexia Zampunieris

Publié le par christine brunet /aloys

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/mademoiselle-cherche-le-soleil-a137725946

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/mademoiselle-cherche-le-soleil-a137725946

 

 

Résumé de l'éditeur :

Ces héros n'en sont pas. Ils ne sont ni spécialement beaux, ni riches, ni célèbres et n'ont aucun talent particulier. Ils font des erreurs, changent de destinée, aiment passionnément et détestent profondément. Ils ont entre 0 et 81 ans, ne se connaissent pas mais partagent le même désir : celui d'être enfin acteurs de leur propre vie. Douze nouvelles, et autant de destins différents qui, mis en lumière, reflètent nos propres vies.
 

 

Mon avis :

Pour moi, ce recueil ne regroupe pas des nouvelles mais plutôt des instants de vie, des petites tranches de vie de personnages communs. Ils sont comme tout le monde, ils sont normaux, ils aiment et vivent une vie paisible comme chacun d'entre-nous.

Le fil conducteur des ces petites histoires est l'amour, sous toutes ses formes. Et comme dans tous les recueils, certaines m'ont touchées, d'autres moins.

"Veiller", "Mariage" et "Message personnel" m'ont particulièrement plu.

Un bon moment de lecture à passer, recueil sympa.

Publié dans avis de blogs

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"La réconciliation selon le Judaïsme (La Torah)" abordée dans l'essai d'éthique politique de Cyriaque Maixent Ebenga "Reconstruire le Congo-Brazzaville"

Publié le par christine brunet /aloys

 

La réconciliation selon le Judaïsme (La Torah)

 

Il est significatif que le verset le plus célèbre de la Bible : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Lévitique 19,18) commence par ces paroles : « Tu ne vengeras ni ne garderas rancune ». Pour la tradition juive, il est plus qu’évident que le commandement d’amour, repris à à l’envie par Jésus dans les Evangiles, n’est praticable que si l’homme extirpe de son cœur toute velléité de vengeance, et même toute rancune.

Difficile exercice pour l’homme que celui de l’amour de son prochain ! Peut-être même impossible, au point qu’il a fallu exiger au moins qu’à défaut, il ne haïsse pas. Car le verset précédent celui de l’amour du prochain (Lévitique 19,17) dit : « Tu ne haïras pas ton frère dans ton cœur. » Si nous récapitulons la progression des deux versets 17 et 18 du chapitre 19 du Lévitique : 1 « Tu ne haïras pas » ; 2 « Tu ne vengeras ni ne garderas rancune » : 3 (seulement !) « Tu aimeras ».

C’est sans doute à l’aune de cette constatation (qui a le mérite du réalisme) qu’il faut envisager la position juive traditionnelle sur la réconciliation. Qu’on ne se hâte pas trop, pour autant, de lui plaquer l’étiquette de sévérité. L’inadmissible comparaison entre le soi-disant Dieu vengeur du Judaïsme et le Dieu d’amour du Christianisme n’a heureusement plus cours dans la théologie chrétienne depuis qu’elle ignore moins ses racines juives.

Le Judaïsme veut simplement affirmer qu’il n’est de possibilité de réconciliation pour l’homme vis-à-vis de son prochain ou pour un peuple vis-à-vis d’un autre, que s’ils éliminent le ferment de la haine, de la vengeance et de la rancune. Ce n’est qu’après avoir fait table rase de ces obstacles qu’ils peuvent prétendre se réconcilier. Et aussi en ne tournant pas le dos à la mémoire. Deux autres commandements de la Torah, apparemment synonymes, disent en effet : « Za Khor », « souviens-toi ! » (Du mal que t’a fait Amalek), et « Lotishkakh », « N’oublie pas ! ». Il y a là l’expression des formes active, et passive de la nécessaire mémoire sans laquelle aucune réconciliation n’est possible.

Pardonner appartient aux victimes, et à elles seules. Se réconcilier appartient à leurs descendants : réconciliation basée sur la reconnaissance de la faute chez leurs bourreaux ou leurs descendants et sur la mémoire indestructible des forfaits. C’est par cette voie étroite que passent la réconciliation, la paix, et l’amour.

Publié dans Textes, présentations

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"Tombent les cheveux" de Laurie Degryse dans le Bibliothécaire

Publié le par christine brunet /aloys

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Sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, une nouvelle signée Louis Delville

Publié le par christine brunet /aloys

 

Sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle


 

Qu'allait-elle y faire sur cette route ? Partant de Namur, Jacqueline a suivi les coquilles dorées placées en rue et très vite, les bords de Meuse se sont révélés bien agréables. Le pâle soleil belge lui donnait des ailes et les kilomètres succédaient aux kilomètres. La France était en vue.


 

Les pèlerins qu'elles rencontraient se plaisaient à lui raconter leurs exploits passés mais aussi futurs. La traversée des grandes plaines semblait lui convenir. Elle parcourait en un jour ce que d'autres faisaient en deux ou trois étapes.


 

Un entraînement d'enfer ! Depuis deux ans, elle marchait de plus en plus. Elle en était arrivée à dégoûter tous les compagnons qui voulaient aussi la défier !


 

En moins de trois semaines, Jacqueline était en Espagne !


 

Chaque soir à l'étape elle téléphonait à son ami François, resté en Belgique. Elle lui décrivait les chemins emprunté, les villages traversés et lui, à l'autre bout du fil, prenait consciencieusement note de son récit et le retranscrivait sur son ordinateur.


 

Le dernier soir, elle ne téléphona pas et il commença à s'inquiéter. Peut-être une panne de téléphone, se dit-il pour se rassurer… Le lendemain, toujours rien ce qui commença à inquiéter François.


 

Où était Jacqueline ? La police avertie, on commença les recherches. Pourtant le chemin qu'elle avait dû emprunter était facile et sûr. Quelques témoins l'avaient vue approchant de la basilique. Elle s'était évaporée en quelques minutes.


 

François décida de se rendre sur place en avion et en dépit de ses efforts, il revint en Belgique complètement désespéré par cette disparition.


 

Pendant ce temps-là, au Couvent des Dominicaines Cloîtrées de Saint-Jacques de Compostelle, on préparait l'intronisation de la nouvelle mère supérieure Sœur Jacqueline, venue de Belgique.


 


 

Louis Delville

 

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Chaos, le dernier thriller de Bob Boutique dans le Bibliothécaire

Publié le par christine brunet /aloys

Chaos, le dernier thriller de Bob Boutique dans le Bibliothécaire
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Caractères, un nouveau texte de Bob le Belge...

Publié le par christine brunet /aloys

 

C’est arrivé bêtement, je prenais le livre en main en le tenant par la tranche lorsque j’ai vu une pluie de caractères tomber sur le sol. Etonné j’ouvre le bouquin et m’aperçoit que c’est le texte des quatre dernières pages qui s’est détaché, sans doute mal imprimé. Il restait quelques lettres par ci par là mais beaucoup trop peu que pour déchiffrer quoi que ce soit.

 

J’étais fort embêté, d’autant plus que c’est le HX14 de Christine Blondet et que j’arrivais à la fin là où on apprend qui manipulait qui.

 

Heureusement je connais l’auteure et lui téléphone en la priant de bien vouloir m’envoyer la partie manquante par email. Mais elle me rappelle quelques minutes plus tard assez énervée pour me signaler que ces pages manquent désormais sur son fichier également et qu’elle ne se souvient plus comment finit l’histoire ? Idem du côté de son imprimeur…

 

T’as intérêt à ramasser ces caractères et à les remettre dans l’ordre menace-t-elle la voix rageuse.

 

D’accord mais comment ? Je calcule rapidement que quatre pages cela représente  des milliers de caractères et me mets immédiatement à l’ouvrage avec une pince à épiler, une grande feuille blanche et de la colle à papier.

 

Ca m’a prit une semaine entière et pour dire vrai l’opération achevée il me restait une centaine de caractères inemployés que j’ai brossé de la main, l’air de rien, dans la poubelle. Pas sûr que c’était le texte prévu mais elle a quand même obtenu le grand prix du meilleur roman policier de l’année. Même que devant l’ébahissement de Laurent Ruquier et Yann Moix qui la félicitaient pour la chute phénoménale et inattendue de son thriller elle eu l‘audace de répondre qu’elle n’avait jamais manqué d’imagination.

 

Elle vient de m’envoyer son HX15 et je tourne ses pages avec soin en vérifiant à chaque fois que toutes les lignes restent bien en place.

 

Bob le Belge

 

 

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"La réconciliation selon l’Islam (Le Coran et les Hadiths)", une notion abordée dans l'ouvrage d'essai d'éthique politique "Reconstruire le Congo-Brazzaville" de Cyriaque Maixent Ebenga

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

La réconciliation selon l’Islam (Le Coran et les Hadiths)

 

« Aide ton frère, qu’il soit opprimé ou oppresseur » dit le Prophète. Un compagnon s’étonne et dit : « J’aiderai mon frère opprimé, mais l’oppresseur, comment l’aiderai-je ? » « En l’empêchant de mal faire », répondit le prophète (hadiths)

Les musulmans expriment de multiples façons la paix et la réconciliation, largement encouragées et recommandées par les principes fondamentaux de l’Islam. Le mot Salam, très souvent employé par les textes coraniques traduit l’idée de salut et de salutation ; il concerne, à la fois, le salut terrestre et céleste. Al salam qui prend le sens de paix. « Quand vous entrez dans des maisons, prononcez salam l’un sur l’autre (…) » (XXIV, 27). Cette recommandation se matérialise par la fameuse formule connue de tous : « Assalamou aleikoum » (« Que la paix soit sur vous »). C’est dire que la paix (salam) traverse la quotidienneté du musulman qui doit, avant tout, rechercher la coexistence pacifique. « Ne dites pas à celui qui n’offre pas la paix : ‘’ Tu n’es pas croyant ‘’ » (IV, 94).

La guerre (harb) doit demeurer une exception alors que la paix (salam, hudna, muwada’a), dans le sens de quiétude, musalaha qui signifie réconciliation, musalaha qui veut dire faire la paix, cultiver la paix est un principe général. Il y a encore d’autres vocables de la langue arabe qui font référence à la paix ou à l’idée d’abstention d’hostilité et d’agressivité. De très nombreux versets coraniques, qu’il serait fastidieux de citer ici, incitent les musulmans à réaliser la paix et établir des relations sinon cordiales du moins pacifiques avec les autres tribus, peuples ou nations qui constituent l’humanité. « (…) Nous vous avons créés d’homme et de femme, Nous vous avons désignés en nations et tribus pour que vous vous connaissiez entre vous (…) » (XLIV, 13). Ce verset, à lui seul engage les musulmans à pratiquer la muwada’a et la musalama.

La guerre que l’on assimile au Djihad n’est pas, loin de là, exclusive aux musulmans qui la pensent, à l’instar des autres comme une défense contre l’agression extérieure. Mais dès que s’arrête l’agression, il est normalement mis fin aux hostilités, ce qui rend la réconciliation et la paix possible. Tandis que la guerre civile (hard ahliyya), considérée comme une fitna (épreuve, discorde, désordre, trouble, sédition), est réprouvée par le Coran et les hadiths (Hadits du Prophète) qui obligent les musulmans à procéder à l’arbitrage (tahkim) et à mettre fin à l’effusion de sang, sévèrement condamnée. « Rien d’autre : les croyants sont frères » (XLIV, 10). Le texte coranique considère que la fitna est pire que le meurtre. Dans tous les cas, la guerre et le désordre sont réprouvés par les textes scripturaires, qui incitent les hommes à s’entraider dans le crime et l’inimitié (hadiths). 

Publié dans présentations, Textes

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