« Au final, on est tellement plus fort que ce que l’on croit ! Toutes ces déceptions ne peuvent nous mener que vers le meilleur. Mais il faut s’en convaincre… »
Biographie
Née en 1988 et originaire de Sambreville, Sylvie Thibaut-Buffart est passionnée par l’écriture et souhaite transmettre des messages positifs, porteurs d’espoir. Dès l’âge de 14 ans, elle écrit ses premiers textes, poèmes et chansons et se fait connaitre sur la scène belge en tant que rappeuse, sous le nom de «Mamz-l».
Résume du livre
Ce recueil propose des pensées positives à lire pour méditer, se rebooster ou simplement s’ouvrir à la réflexion. Tout en partant de ce que chacun peut vivre ou ressentir, la volonté est de réfléchir au monde qui nous entoure et de susciter le besoin de se recentrer sur l’essentiel, tout en gardant toujours espoir. Qu’on le lise page après page ou dans le désordre, qu’on se pose une question avant de l’ouvrir au hasard, peu importe.
Alain CHARLES habite Baudour, il exerce la profession d’ingénieur dans une société de construction en Wallonie picarde. En 2018, il publiait «Continuum», un recueil de nouvelles, en juin 2020, «Chronicovids», textes chronologiques sur la pandémie du Covid-19, et en janvier 2021, le roman «Le Serénateur». « Les Viateurs » est son deuxième roman.
Résumé
Pol, un enfant de 10 ans, se réveillant dans le sous-sol de son immeuble, constate que la terre a tremblé et que la population a disparu. Une voix et une chouette le guident dans la banlieue dévastée. Il y rencontre Zabeth, une gamine délurée, recueille P’tit Poutch, un bébé abandonné, puis croise Le Poète qui a fui les couloirs du métro où les enfants gris, mangeurs de rats, font régner la terreur. Ensemble, ils sauvent Angèle sur le parapet d’un pont. La seule solution est de rejoindre la campagne et les forêts.
Dans une galerie aux dimensions infinies, parmi les attendeurs amorphes, Georges, le père de Pol, et Mathilde, la mère de Zabeth, discutent de la fin du monde, de la notion d’éternité, de la réalité du Big Bang, de l’existence de l’enfer. Ils cherchent les raisons qui ont provoqué l’apocalypse. Forçant «La Porte», ils négocient avec «La Voix» car leur seul désir est de retrouver leur enfant.
Que deviendra-t-il, seul, dans cette ville en ruine?
Il leva les yeux, le ciel était bleu pâle, délavé, des filaments laiteux cachaient le soleil, puis il les baissa vers la terre brûlée, les troncs fumants, les buissons et arbustes carbonisés. Il eut envie de crier, mais hurler sa peur, sa colère ne servait à rien, personne ne l’entendrait.
Il se rappela la voix, elle avait un timbre, un ton, qui ne lui étaient pas inconnus.
***
—Vous dites que nous sommes dans une salle d’attente, je ne me souviens pas y être entrée, d’ailleurs nous ne voyons aucune porte.
—Chère dame…
—Mathilde.
—Mathilde, si nous sommes dans cette galerie à discuter, nous y sommes entrés et si nous y sommes entrés, tôt ou tard, nous en sortirons. La logique est implacable, inévitable, inéluctable et tous les adverbes en «able» qui conviennent à l’algorithme de la déduction. Une issue existe et nous la trouverons.
***
Au moment où il se leva, Pol entendit un son étrange dans la rue.
—Zabeth, tu n’entends rien?
—Nothing, nada, c’est encore ta voix?
—Non, de la musique, une flûte, comme celle que j’apprenais à l’école.
—Déso pas déso, c’est tes pavillons qui grésillent.
—Non, je t’assure, écoute.
Ils tendirent l’oreille et P’tit Poutch ronchonna d’être délaissé.
—T’as raison, mon coco, i’ joue faux.
Se précipitant à la fenêtre, ils aperçurent, à une centaine de mètres, un jeune homme très mince et très grand, tout de noir vêtu. Il s’arrêta de souffler dans son pipeau et commença à chanter.
—Assurancetourix au pays des soviets.
—Tu mélanges tout, Zabeth, le pays des soviets, c’est Tintin.
—Oki, monsieur je sais tout, kess qu’on fait? Va voir en soumsoum et s’il ressemble à un thug, on s’cache.
—Zabeth, une personne qui aime la musique ne peut pas être un voyou.
—Hitler écoutait Wagner, du schnock, ça t’en bouche un coin.
Pour son premier recueil, Xénia Maszowez a réussi à se hisser parmi les finalistes du prix Charles Plisnier. Voilà qui est de bon augure !
Une belle surprise, en effet, que cette poésie sensuelle, à fleur de peau. Une poésie à mâcher, à humer. Rien de plat. Un recueil que l’on peut ouvrir à n’importe quelle page !
Deux exemples : Lécher l’hiver / Comme une glace / Sentir son goût / Geler mes dents
ou encore : Sous la surface / Des choses / Il est / Monts et merveilles / Gratte !
Les « hyphes », ce sont les filaments du mycélium qui courent sous la terre et, venus à la surface, nous offrent l’infinie variété des champignons. Xénia Maszowez explore ainsi les filaments – neurones, synapses – de son cerveau, les chemins de son être, les épanchements filandreux de sa pensée. Le mot, rare et beau, offre bien sûr un jeu de mots que l’auteure ne se prive pas d’exploiter, d’explorer : Hyphes I / Hyphes you / Hyphes we // So maybe // Hyphes. / Toutes ces choses cachées. / Sous-jacentes, sous-terraines, telluriques. / Ces liens secrets.
« Hyphes », aussi, la belle illustration de couverture, œuvre de l’écrivaine qui est également plasticienne : amanite tue-mouches en surface et, dessous, le vaporeux réseau du mycélium. Le champignon hallucinogène des sorcières (et Xénia Maszowez se dit « sorcière en poésie »), effleurement conscient d’un inconscient bouillonnement, ombre portée d’une caverne profonde et sombre.
Le généreux recueil (une centaine de textes !) est divisé en six sections (Monts et merveilles, Hyphes, Jus de cœur, Mange ta soupe, Louves et Même pas mal). Des sections thématiques centrées sur la perception de la nature, l’amour, l’inconscient, l’expérience de l’absurde, la sororité ou encore la maladie – une logique thématique mais pas systématique, le cheminement des « hyphes » mentaux étant bien entendu erratique.
Une poésie dont l’inspiration découle de l’expiration, de la respiration, de la transpiration. La voix personnelle, à la fois brute et sophistiquée, d’une personnalité qui se livre dans toute sa force fragile, comme dans cette Orange sanguine :
Une orange que l’on pèle
à vif
souffre moins
que mon âme
fragile
dans le froid
ce matin
Que personne ne me parle
encore moins ne me touche
Aucun son ce matin
ne jaillit de ma bouche
Une poésie à découvrir, une voix neuve (c’est rare), non dépourvue d’humour, ce qui ne gâte rien : Si l’idée de la mort s’impose : / faire de la soupe / À trucider des légumes, / l’esprit s’apaise
À lire Xénia Maszowez, l’esprit s’agite entre guerre et paix, entre nature et culture, entre trouble et sérénité. Et c’est bon.
Salomé Roussel publie un quatrième ouvrage aux éditions Chloé des Lys. Après un recueil de poèmes, un roman et une suite de lettres "Trois années de brousse", voilà que paraît "Au nom de Pierre, de Luc, de Marc et de Jacob".
Les prénoms, une vingtaine, se succèdent dans une vie aux nombreuses activités professionnelles, aux rebondissements incessants. Le livre est notamment dédié à ceux qu’elle a "croisés pendant un demi-siècle", à celles qui lui ont "chuchoté leurs exercices de voltige amoureuse". Ces "histoires de femmes hautement humoristiques et exagérées" se présentent comme un roman.
"Quand je lis, le monde entier se laisse oublier, confiait Salomé Roussel après deux premières publications, dont un recueil signé sous le pseudonyme de Jeanne Galand. Je suis plongée dans une histoire, j’intègre tous les personnages à la fois, je me propulse dans plusieurs existences." Elle écrit, à son tour, des récits de vie. La narratrice, Jeanne, est née dans une famille qui comptera aussi deux petits frères. "Ce n’est pas en me promenant avec une poussette que je rencontrerai un boyfriend!" se souvient-elle. L’un ou l’autre prince la rejoindra, en cette fin d’adolescence où elle découvre "les affres amoureuses de Madame Bovary ou d’Anna Karénine".
Après une année à Rome, l’étudiante entreprend un cycle de secrétariat. Elle épousera Simon, préférant le futur médecin à un autre prétendant, dentiste. "Si j’avais pu les mettre dans un shaker et les mixer j’aurais obtenu le cocktail parfait, mais cette machine doit encore être inventée." Quatre enfants naissent au foyer, une cascade d’émotions, de doutes, de carrefours rend l’existence palpitante. Et puis d’une maison à une autre, d’un projet à sa concrétisation, le temps court, au rythme d’une écriture échevelée, imprévisible. "Ce vendredi-là, Dame Ginette me reçut très gentiment dans son bureau situé le long de l’Escaut. Elle me prit en photo et me demanda quel genre d’homme je souhaitais rencontrer."
"Au nom de Pierre, de Luc, de Marc et de Jacob", éd. Chloé des Lys, 19€10
Je me présente : Jeanne R. et je m’apprête à sortir un autre livre chez Chloé des Lys qui s’intitule « Mémoires d’une âme », celui-ci est mon troisième roman, roman baroque par excellence.
J’habite toujours en France, mais j'ai quitté le 6 ème arrondissement de la ville des Lumières pour un coin calme et tout aussi charmant et tellement verdoyant : Caluire et Cuire, lequel se trouve aux portes de Lyon.
Quant à ce nouveau roman, à la fois joyeux et triste, il se présente comme une balade dans Venise en compagnie d’un jeune couple, habité par leur art, dont chacun raconte sa propre histoire entrecoupée de réflexions sur tout ce qui fait la vie : les rencontres, l’amour et l’amitié, la mort, la maladie, le deuil, la chance et la malchance, l’humour, les humeurs des uns et des autres, et l’oisiveté pour certains...
Voici quelques extraits :
« Soudain, une porte dérobée s’ouvrit. Un homme aux cheveux gris apparut, l’air avisé. En blouse blanche, avec un sourire apaisant, il s’approcha de la femme et d'une main tendue la pria de le suivre dans la pièce en retrait. Quelques secondes plus tard, la porte se referma sur eux : la femme en question venait d’entrer en silence dans l’antre de la Médecine. »
« Elle reconnaissait que la maladie ne l’avait pas empêchée de se cloîtrer chez elle, alors même qu’elle était présentable, sortable, visitable, enfin baisable. »
« Du temps qu’elle était autre, du temps qu’elle était chauve… Les moins courageux baissèrent les yeux et passèrent leur chemin en faisant mine de ne pas la reconnaitre ; les plus courageux, prétextant un rendez-vous fortuit, partirent promptement sous ses yeux ahuris. Et alors… Alors quoi ? Ô mes semblables, mes frères, regardez tous ces pleutres ! Honte à eux ! S’ils avaient appris qu’elle était morte, morte de maladie, ils seraient venus s’effondrer sur sa tombe, pff. »
« Dans la Cité des Doges, un homme de rencontre, qui se disait poète et fou pareil à l’albatros, serait l’oreille qui l’écouterait, et leur rire joyeux allait souffler sans égard sur les cendres de cette vieille tumeur. »
« Ayant chassé mainte fois en nocturne dans une Venise discrète, ce poète en déroute savait qui convoquer après l’heure de minuit. Il lui était même arrivé d’aller braconner chez les autres mais, les femmes mariées étant plus jalouses que les maris, il se lassa très vite et prit l’option de n’honorer que des filles légères, les filles d’un soir. »
Voici un livre bien silencieux puisqu'il est resté quelques années dans ma bibliothèque sans se faire remarquer, perdu au milieu de ses congénères. Je dois avouer que je l'avais quelque peu oublié, mais mon regard s'est enfin porté sur lui et je l'ai sorti de son rayonnage.
Bien sûr, j'ai eu là une bonne idée puisque j'ai passé, avec lui, de très bons moments de lecture.
Je ne parlerai pas de l'écriture d'Edmée. Je l'ai déjà fait à plusieurs reprises puisque j'ai lu "Les Romanichels", son premier roman en 2009 et que j'en ai dégusté d'autres depuis. Il suffit de se rendre sur son blog pour se rendre compte de son style parfait.
Pour ce roman, Edmée a bien choisi son titre, vous allez vous en apercevoir.
La couverture, un peu désuète peut-être, vous indique que vous allez vous rendre dans une autre époque et partir à la rencontre de personnages qui semblent sortis tout droit de la vie d'Edmée.
Fidèle à son habitude (son blog peut en témoigner), Edmée nous dépeint des personnages au passé parfois tumultueux, qui cachent des secrets plus ou moins bien gardés, des amours véritables ou arrangés, qui durent ou pas, des blessures parfois profondes, mais que l'on tait le plus souvent.
La véritable héroïne de ce roman, c'est la maison, celle que l'aïeule a achetée et qu'elle a transmise à ses descendants. C'est donc une saga familiale qui se déroule ici de 1928 à 2009.
Il y a d'abord Jean et Germaine dite Maine. Cette dernière est devenue mélancolique sans trop savoir pourquoi, neurasthénique diront certains. Jean, lui, peint à ses heures perdues. Mais pourquoi a-t-il fait le portrait de cette jolie servante au pied bot?
Viennent ensuite leur fils, Marco, et Anne, sa femme, tellement distraite qu'elle se cogne très souvent sur les bords de portes.
Suivent les jumelles, Christine et Mireille. La première aura un enfant de père inconnu (encore un secret bien caché). Quant à la deuxième, restée célibataire comme sa sœur, elle vit un amour caché, mais tout secret risque d'être dévoilé un jour.
L'histoire se termine avec Daniel et Pavlina qui ressort le portrait de la trop jolie servante...
Quatre générations se sont déroulées sous la plume alerte d'Edmée. Toutes ont été traversées par des tumultes silencieux - je vous avais dit qu'Edmée avait bien choisi son titre - et aucune ne vous laissera indifférent. Et n'oublions pas le témoin muet de ces joies et de ces peines : la maison qui porte la trace des unions et désunions, des naissances et des décès, des arrivées et des départs...
Un livre à lire sans modération. Vous quitterez les personnages comme si vous les connaissiez de longue date et ils ne pourront que vous manquer.
Sept lieux du monde qui apportent de la douceur dans l’horreur et de l’épique dans le dramatique.
Sept occasions de donner aux grandes tragédies contemporaines un visage et une âme.
Sept issues de secours.
Un même bonheur de liberté.
Né à Nancy en 1976, Olivier Vojetta vit à Sydney. Il est l’auteur d’un roman très remarqué, Courir encore, paru en 2020 aux Éditions Maïa, dans la collection Quantum Scandola.
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Seven different locations—exotic, close to home, interior.
Seven different parts of the world that bring a soupçon of sweetness to the horror, and a hint of epic to the dramatic.
Seven personal encounters with the great tragedies of our time.
Seven emergency exits.
One common thread: the joy of freedom.
Olivier Vojetta was born in Nancy in 1976 and now lives in Sydney. He is the author of the well-received Courir encore, a novel published in 2020 by Maïa Editions, in the Quantum Scandola collection.
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Ce recueil de nouvelles vous est proposé dans un format bilingue français anglais qui permettra aux lecteurs et lectrices francophones comme anglophones de disparaître quelques heures avec l’auteur.
This book of short stories is offered as a bilingual French and English edition, which will allow French and English speaking readers, students and academics to disappear with the author for a few hours.
Xénia Maszowez est une poétesse et artiste écoféministe montoise. Son nom, émaillé de lettres qui comptent triple au Scrabble, est lié aux origines slaves de sa famille.
Après des études en philosophie, elle a longtemps travaillé dans une association féministe.
L'irruption, dans sa vie, de la maladie l'a obligée à emprunter d'autres chemins.
Sorcière en poésie, elle se consacre aujourd’hui à l’écriture et à l’exploration de différentes disciplines artistiques. « Hyphes » est son premier recueil (publié). Sorti des presses en décembre 2021, il est donc tout nouveau, tout chaud !
Le terme « hyphes » vient du grec ancien ὑφή (huphḗ) signifiant « tissu ».
C’est un nom masculin ou féminin désignant des filaments qui, organisé en réseau, constituent le mycélium des champignons : leur partie invisible car elle se trouve le plus souvent sous terre.
Dans ce recueil, se mêlent des mots liés aux femmes et à la nature. Pour autant, foin de mièvrerie ! Si les hyphes forment une dentelle, elle est brodée à même la peau…
Au fil du voyage, on rencontre des sorcières en herbe, des louves aux abois et des dragonnes à la peau dure mais au cœur tendre. On y explore les méandres de nos vies intérieures, là où poussent des fougères invisibles pour le commun des mortels. Il y est question de magie, ou plutôt, d’empouvoirement. Et de sororité, évidemment. On y trouve ce qui en nous s’accorde à l’eau, à la lumière et au vent. On y puise des forces pour faire face à la douleur et aux ouragans.
Extrait :
Racines
Sont-ce des racines
qui poussent en mon ventre ?
Puissent-elles faire de moi
un arbre
tilleul ou acacia
Je pourrai ainsi respirer
l’odeur de mes propres fleurs
avant l’orage
Avec ce recueil, Xénia a concouru dans le cadre du prix de Littérature Charles Plisnier 2021, organisé chaque année par la Province du Hainaut. Si « Hyphes » n’a pas été primé, il fait partie des ouvrages ayant particulièrement retenu l’attention du jury. Voici ce qu’en dit Daniel Charneux, écrivain, lauréat du Prix de Littérature Gauchez-Philippot en 2018 et membre du jury :
« Oui, le recueil de Mme Maszowez nous a particulièrement impressionnés.
Belle surprise ! Une poésie sensuelle, à fleur de peau. Poésie à mâcher, humer (…). Rien de plat. Un recueil que l'on peut ouvrir à n'importe quelle page ! »
Outre l’écriture, Xénia pratique également la poésie en explorant diverses techniques artistiques (principalement le collage, mais aussi la gravure, la cyanotypie, les impressions végétales, la photo…). Fin juin, une rencontre sera organisée dans une bibliothèque du Réseau louviérois de Lecture publique pour présenter « Hyphes ». À la même période, les œuvres de Xénia seront exposées au Château Gilson, à La Louvière : « Hypersensibilités spécifiques » https://www.cestcentral.be/expositions.
L’événement à la bibliothèque sera l’occasion pour l’autrice de parler de la poésie dans tous ses états et des différentes manières de la faire naître, en mots ou en images. Davantage de précisions quant à cette rencontre vous seront communiquées lorsque les inscriptions seront ouvertes.
Si vous désirez déjà découvrir l’univers de cette artiste touche-à-tout, plongez-vous dans « Hyphes » et foncez à La Louvière où quatre de ses œuvres sont exposées dans le cadre du 30ème Prix de la Gravure et de l’Image imprimée (jusqu’au 27 février 2022) : https://www.centredelagravure.be/exhibition/pgii30/