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Micheline Boland nous propose un petit conte pour Pâques...

Publié le par christine brunet /aloys

 

LE PETIT ŒUF OUBLIÉ

C'est l'histoire d'un petit œuf, un petit œuf oublié dans un jardin de grand-mère un jour de Pâques.

Le matin même la cloche l'avait laissé choir dans la pelouse, le chien lors de sa sortie matinale s'en était amusé et l'avait fait rouler sous la haie. Quand vint le moment tant attendu de la chasse aux œufs, les enfants ne le remarquèrent pas. Trop petit, trop discret sans doute ! Pourtant, il était bien joli, tout enrobé de papier doré. Il aurait suffi de se baisser et d'être un rien attentif pour le repérer.

Le temps avait passé. Les heures, les jours, les semaines, les mois, les saisons, une année entière. Il avait senti les rayons du soleil et les souffles du vent, l'humidité et la sécheresse. Il avait eu froid et il avait eu chaud. Il était resté sous la haie. Le jardinier n'y avait pas pris garde quand il avait taillé, les enfants ne l'avaient pas plus remarqué lorsqu'ils avaient joué à cache-cache que lors  du fameux dimanche de Pâques.

L'année suivante, petit Sam, qui avait grandi, chercha lui aussi des œufs dans le jardin. Ses frères et ses cousins étaient plus perspicaces et plus rapides que lui, mais c'est lui qui vit au bas de la haie une belle poule recouverte par endroits d'un peu de papier doré. Le petit œuf avait grandi et petit Sam en avait fait la gourmande découverte.

 

Micheline Boland

 

Publié dans Textes

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Ani Sedent a lu "L'été de l'oiseau" de Dominique Dumont

Publié le par christine brunet /aloys

 

Pour toutes sortes de raisons, certains étés sont plus mémorables que d’autres.  L’été de l’oiseau de Dominique Dumont est de ceux là.

 

Du haut de ses dix-sept ans, Diego est à un âge où, loin de se sentir un homme, il ne se voit déjà plus comme un adolescent.  Il faut dire que son parcours familial chaotique lui a laissé en héritage une certaine mélancolie, ainsi qu’une certitude à propos de sa vie : il n’en fera rien !

Pourtant, il aime bien celle qu’il mène dans le quartier Montmartre, du moins, jusqu’à ce rappel brutal de l’existence qui lui prouve que rien n’est immuable et la vie, imprévisible.

 

Le roman de Dominique Dumont est avant tout une galerie de portraits.  Ceux de la famille de Diego, bien sûr, de ses parents et grands parents, sans oublier l’oncle José, mais aussi des gens qu’il rencontre ou côtoie au gré des circonstances, pour le meilleur ou pour le pire.

En quelques phrases, l’auteur les croques, leur donnant vie et caractère pour les faire évoluer dans un monde rempli d’incertitudes. 

De Paris à Bruxelles, du quartier populaire de Montmartre à l’Occitanie, il nous fait partager des tranches de vies aux parcours fort différents, qui se croisent pour se trouver, se retrouver, ou se perdre.

 

Quant à l’oiseau, si son rôle semble prendre des allures magiques c’est peut-être simplement parce que ses plumes agitent un vent d’espoir et de liberté.

 

Ani Sedent

 

Publié dans actutuv

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Christine Brunet a lu "Entre rivière et forêt" de Patrick Beaucamps

Publié le par christine brunet /aloys

 

Je suis toujours impatiente de me plonger dans l’écriture de Patrick Beaucamps. Cette fois, l’auteur nous propose dix nouvelles courtes, punchies, noires voire très noires… « Entre rivière et forêt » est d’ailleurs le titre de la dernière nouvelle, probablement la plus prenante, la plus noire de toutes.  L’ouvrage ne compte que 123 pages qui se lisent très vite.

Patrick Beaucamps nous fait partager de courts instants de vie, des destins brisés, des existences cabossées émaillées de brèves mais rares lueurs d’espoir. Des personnages déchirés qui nous font frissonner. L’ambiance est pesante. Si je devais donner une couleur à ses histoires, ce serait le gris très foncé.

Comme toujours, l’écriture est très agréable, précise, imagée et entraîne sans difficulté le lecteur dans ces petits microcosmes dramatiques.

La mort, très présente, n’est pourtant pas présentée comme terrible ou terrifiante… ce qui m’amène au thème sous-jacent : la résilience… Surmonter, survivre coûte que coûte. J’ai passé un excellent moment de lecture. A découvrir !

 

Christine Brunet

 

Publié dans émission actutv

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Christine Brunet présente un trailer pour son tout premier thriller "Nid de vipères"

Publié le par christine brunet /aloys

Publié dans Trailer

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Christine Brunet a lu pour ActuTV "L'été Gigi" de Céline Estelle

Publié le par christine brunet /aloys

Une couverture qui attire l’œil, sans aucun doute, et qui donne envie de pousser plus loin, de découvrir ce que cache le titre « L’été Gigi ». L’histoire ? Trois adolescents se rencontrent et écrivent, malgré eux, le temps d’un trop bref été, une page indélébile de leur vie.

Gigi, sublime jeune femme de 17 ans quitte la capitale pour une toute petite ville de la Marne, Dormans. Elle rencontre Emma, plus jeune, plus effacée, femme en devenir, puis Tristan, cancre loubard très courtisé par la gent féminine.

On assiste à la naissance d’une amitié si forte qu’on la croit inébranlable, puis à ce qui ne peut qu’en découler considérant la personnalité même des protagonistes… à une histoire d’amour, passionnelle, passionnée… Un triangle amoureux qui va faire des ravages. Tourbillons d’émotions, de sensations, de couleurs… Un récit en crescendo qui s’arrête brutalement avec la fin de l’été. Puis le temps implacable faisant son œuvre, tout s’effrite lentement jusqu’à la destruction des liens qui laisse un goût amer…. Goût amer que laisse la vie, les souvenirs, que laisse l’amour. Céline Estelle nous propose un récit agité de remous, émaillé de réflexions sur l’existence, la jeunesse, la vie et… la mort.

 

Christine Brunet

 

Publié dans émission actutv

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"Fort, fort mystérieux", une nouvelle signée Ani Sedent

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

Le soir tombait lorsqu’Arthur passa non loin du menhir.  Le doigt de Gargantua, tombé de la main du géant après un combat épique contre les korrigans, semblait vouloir mettre en garde le jeune étudiant en histoire contre quelque sombre machination.  Depuis plusieurs mois, les splendides côtes d’Armor et ses roches granitiques, auxquelles le vent semblait souffler mille histoires réelles ou imaginaires, était le centre de l’univers de ce jeune homme avide de découvrir les secrets de ce lieu magique.  Ceux du château de la Roche Goyon en particulier, Fort la Latte, une merveille du quatorzième siècle perchée sur un éperon rocheux comme un défit à la mer et ses sortilèges.

  Quelques cailloux roulèrent sous les pas du jeune homme alors qu’il approchait du premier pont-levis et de la barbacane, toujours prompte à défendre sont trésor d’éventuels assaillants même si quelques siècles l’avaient privée de sa herse.  Arthur la traversa, passa au-dessus du gouffre qui la séparait du second pont-levis et de son châtelet gardé par deux tours, puis pénétra enfin dans la cour du château.

  La lune couvrait d’un voile blanc le promontoire et son donjon, sentinelle immuable.  Arthur s’arrêta au milieu de la cour et observa son environnement.  Un esprit hantait les lieux, c’est du moins ce que certains affirmaient.  Il n’y a pas si longtemps, le jeune étudiant se serait moqué de ces assertions, les jugeant puériles ou fantaisistes, mais depuis peu, il se posait des questions.  Les nombreuses nuits passées au château, peuplées de sons étranges et de chuchotements, avaient perturbé sa sérénité coutumière.

  Le jeune homme tourna la tête et posa les yeux sur la citerne d’eau.  Construite sous le règne du roi Soleil, elle dormait sous une arche, face à la mer.  Attiré par l’éclat de la lune se reflétant sur les crêtes écumeuses de la Manche, Arthur se glissa sous l’arche.  Mais alors qu’il s’appuyait sur le rebord de la citerne, les reflets d’argent sur les vagues onduleuses perdirent leur éclat, floutées par une ombre qui absorbait la nuit en chuchotant une supplique.  Soudain, fusant des strates englouties du moyen-âge, une intense lumière embrasa les pierres de la citerne.

  Arthur voulu s’éloigner, mais une force le précipita au cœur de ce flamboiement, lui arrachant un long cri d’angoisse.  Balloté sur d’invisibles vagues, le jeune homme finit par s’échouer au milieu du chaos.  Des gens criaient et couraient en tous sens, houspillés par quelques soldats en cotte de maille et tabard, ainsi que des arbalétriers en jacque de cuir.  Levant la tête, Arthur vit le donjon du château se détacher sur un ciel bleu, que quelques cumulus absolvaient de son intense couleur par leur innocente blancheur.  Quelqu’un lui hurla, dans des termes fleuris et dans un français aux accents médiévaux, de se mettre à l’abri.  Stupéfait, le jeune homme se précipita néanmoins sous l’arche du châtelet, notant au passage que ce dernier présentait un étage supérieur.  De là, il observa la cour du château.  C’était bien la même que celle qu’il connaissait, cependant, certains détails, dont une tour carrée n’était pas le moindre, la rendaient différente.  Un soldat le bouscula et sortit rejoindre ses compagnons.  Inquiet, le jeune homme fit comme tout le monde : il leva les yeux et scruta le ciel.  Si, comme il le soupçonnait, il avait été transporté en plein moyen-âge par quelque maléfice, quel genre de menace venant du ciel ces gens pouvaient-ils bien craindre ?  Tout à coup, un bruissement à l’arrière du donjon se fit entendre.  Un cri terrifiant retentit et des flammes embrasèrent l’atmosphère.  Dans la cour, les carreaux d’arbalète fusèrent.  Sous les yeux ébahis d’Arthur, la cour s’assombrit, engloutie par la soie noire d’une ombre gigantesque.  Un dragon survolait le fort en crachant un geyser de feu.  Les soldats s’égayèrent vers les abris les plus proches, mais celui qui avait bousculé Arthur se précipita vers le donjon.  Dans le ciel le dragon disparut un instant, ne laissant derrière lui que quelques volutes de fumée, pour réapparaître presque aussitôt au-dessus de l’imposante tour.  Il cracha une bouffée rougeoyante en direction du malheureux arbalétrier, qui dérapa et s’étala de tout son long.  Terrifié, l’homme se releva et tenta de rejoindre le châtelet, mais la créature à l’armure écailleuse fondit sur lui en poussant un terrible cri.  Comprenant qu’il n’y arriverait pas, le soldat posa sur Arthur un regard ou la résignation le disputait à la culpabilité.  Puis, alors que le dragon l’agrippait de ses serres puissantes, il disparut, avalé par l’éther.  Au même instant, Arthur était aspiré au cœur d’un océan de lumière et rejeté au pied de la citerne.

  Tout en contemplant la lune qui continuait sa course paresseuse dans le ciel de Bretagne, il écouta les battements désordonnés de son cœur, se demandant s’il n’avait pas tout simplement perdu connaissance et rêvé cette folle histoire.  Mais une ombre s’en vint le frôler de son suaire glacé, avant de se diriger vers le donjon.  Le jeune homme suivit l’apparition, qui s’évapora dans un chuchotement désespéré parmi les pierres du promontoire rocheux.  Prudemment, Arthur s’aventura à sa suite, certain que ces lieux recelaient une chose importante.  Un bruissement inquiétant lui fit lever la tête, mais seuls quelques cirrus perturbaient la quiétude du ciel nocturne des côtes d’Armor.  Tâtonnant parmi les roches, il sentit un gros galet s’en détacher alors que quelques cailloux roulaient vers la basse-cour.  Glissant la main dans le trou, il en sortit un énorme rubis, lisse et brillant, à l’ovale parfait.  N’osant croire à ce qu’il tenait entre les mains, Arthur hésita.  Que devait-il faire ? Inexplicablement, l’image du doigt de Gargantua pointant hardiment vers le ciel, s’imposa à lui et il emporta sa trouvaille tout en haut du donjon.  Là, il la lança le plus haut possible et, tandis que l’œuf disparaissait emporté par une inquiétante silhouette drapée de fumée, le spectre d’un arbalétrier du quatorzième siècle, imprudent voleur de trésor, s’échappa sur les chemins d’une liberté enfin retrouvée.

 

Fort, fort mystérieux – Ani Sedent

Publié dans Textes

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Christine Brunet interviewe Joe Valeska à l'occasion de la parution de son dernier roman "Ainsi, je devins un vampire"

Publié le par christine brunet /aloys

Publié dans interview, vidéo

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Alain Charles présente son nouvel ouvrage "Juste quelques mots"

Publié le par christine brunet /aloys

Bio

Alain CHARLES habite Baudour, il exerce la profession d’ingénieur dans une société de construction en Wallonie picarde. Il a déjà publié plusieurs recueils de nouvelles, contes fantastiques et romans dont «Une si jolie poseuse de bombes » paru en 2022, «Ciel bleu avec nuages » en 2023, « L’Enchère » en 2024. Il a également publié en 2024 « L’attente », une pièce de théâtre. « Juste quelques mots » est son premier recueil de poésies.  

 

Résumé

 

Un mot, quelques syllabes

Un verbe approprié

Une idée qui trotte dans la tête

Un petit bout de papier

Un crayon, un stylo, qu’importe

Et puis l’envie de les écrire

Avec une urgence souveraine

Sans gêne sans pudeur puérile

J’ai osé.

Incisives

Courtes, brèves

Juste quelques mots.

Ils bouleversent, choquent, émeuvent 

Pourquoi ?

Quand le cœur s’emballe

Quand les yeux se mouillent

Quand l’esprit s’interroge

Laissez-les, ils guident nos pas

 

 

Extrait

Une femme à sa fenêtre

Les yeux mouillés

Regardait la pluie

Et le chemin détrempé.

Celui d’où il était venu

Celui par où il était parti.

Soudain, au loin

Une silhouette

Elle portait un chapeau.

Elle s’est mise à espérer.

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Résultats de l'acte 1 du concours pour le prochain hors-série

Publié le par christine brunet /aloys

 

Acte 1 de notre concours pour le hors-série "Fureur de lire, fureur d'écrire" 

Les auteurs participants

Texte 1 : Micheline Boland         => 1 vote

Texte 2 : Christian Eychloma      => 1 vote

Texte 3 : Ani Sedent                   => 1 vote

Texte 4 : Philippe Desterbecq    => 3 votes

Texte 5 : Joe Valeska                   => 2 votes

Texte 6 : Edmée de Xhavée         => 1 votes

Texte 7 : Carine-Laure Desguin   => 4 votes

Texte 8 : Christine Brunet            => 4 votes

 

Merci à tous les participants !

Donc avec 4 votes, deux textes ex aequo : le 7 et le 8... Celui de Carine-Laure Desguin et le mien ! 

 

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Acte 1 concours "Fureur de lire, fureur d'écrire" - Texte 8 - Dernier texte ! A vous de voter sur ce post !

Publié le par christine brunet /aloys

Ne vous est-il jamais arrivé de désirer si fort quelque chose que, malgré les obstacles dressés devant vous, a priori insurmontables, vous vous êtes jetés dans la bataille pour obtenir, certes de haute lutte, l’objet de votre convoitise ?

Moi, c’est ce qu’il m’est arrivé voici presque… non, je ne vais pas vous donner un nombre d’années… embarrassant… C’est donc, dis-je, ce qu’il m’est arrivé voici longtemps (mieux et assez vague… hum). Ma tante bossait dans une librairie. Un jour que j’allais la retrouver avec ma mère, (faut préciser que je n’avais que 4 ans), je suis tombée en pâmoison devant une image… (aujourd’hui, je parlerai de première de couverture) : c’était un petit bonhomme au visage tout rond affublé d’un bonnet bleu avec une clochette au bout, de grands yeux noirs, une bouche souriante, des joues bien rouges comme son pull et les pois de son joli foulard jaune (là, je suis persuadée que la plupart d’entre vous ont déjà mis un nom sur ce personnage).

Comment vous décrire ce coup de cœur ? Devant mes yeux hypnotisés dansaient les couleurs vives, si joyeuses, et ce regard rieur, prometteur de mystères et d’aventures extraordinaires. Je saisis le petit livre cartonné et refusais de le remettre sur l’étagère (le libraire, en professionnel aguerri, avait rangé la série tout en bas de l’étal, à la main des enfants… Malin !). Devant ma volonté farouche de repartir avec ma trouvaille, ma mère me mit en main un marché, l’un de ceux qu’on ne peut refuser lorsqu’on est tombée éperdument amoureuse : « tu apprends d’abord à lire et, ensuite, tu pourras avoir tous les « Oui-Oui » (vous l’aviez deviné, bien entendu) que tu voudras ! ». Réponse instantanée : « Maman, je veux apprendre à lire ! Maintenant ! »

Je vous passe les tergiversations, les remarques vaguement ironiques, les conseils de ma tante et du libraire… mais je repartais ce jour-là avec deux livres : « Oui-Oui au pays des jouets » et « La méthode Boscher » pour apprendre à lire (les Français de ma génération savent à quel bouquin je fais allusion). Ma mère posa mon Oui-Oui bien en vue (mais hors de portée) dans la vitrine de mon armoire, et me laissa l’autre ouvrage : je contemplais les deux enfants sages dessinés sur la couverture, sans envie : ces deux-là ne me plaisaient pas du tout. Mais comme j’ai toujours été du genre têtu, j’ai harcelé ma mère pour ma première leçon, puis la seconde… J’en demandais toujours plus, relisant sans arrêt les syllabes, les mots, les phrases et avançant bientôt seule aux côtés de Rémi et Maria, les deux « héros » de cette méthode. Enfin, héros… Rien à voir avec mon Oui-Oui qui ne me quittait pas de son beau regard attentif.

Bonheur suprême le jour où je parvins à lire le dernier texte et où ma mère me mit entre les mains mon adorable Oui-Oui… Je me lançais alors, le cœur battant, dans cette toute première aventure si palpitante aux côtés d’un héros au grand cœur, malin, mais si généreux que le lendemain, j’allais chercher « Oui-Oui et la voiture jaune », promesse d’un nouveau voyage haletant au pays des jouets.

Et je les ai lus, relus et archirelus, tous les tomes, sans en omettre un seul, me plongeant (même la nuit en cachette) avec ravissement, auprès de mon héros et de ses amis, dans un univers magique et aventureux, tendre et chaleureux… un univers enchanté qui m’a propulsée dans un monde plus passionnant encore, celui de nouveaux héros, de nouvelles histoires, de nouveaux voyages passionnants qui m’ont tirée, inexorablement, vers une aventure ô combien plus incroyable : celle de l’écriture.

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