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Alain Biron nous présente son ouvrage "Cavatines"

Publié le par christine brunet /aloys

Biographie

Les interstices de la vie où les peurs, les regrets, les désirs insatisfaits ouvrent sans bruit la porte à l’intrusion du surnaturel.

Après avoir publié aux éditions de l’Entreligne une parodie de thriller « Une blonde à haut risque », je me suis consacré pendant  plusieurs années à l’écriture de sketches et de one man show pour le théâtre et le café-théâtre.

« Cavatines » est mon premier recueil de nouvelles ; il est né du désir d’explorer ces interstices de la vie où les peurs, les regrets, les désirs insatisfaits ouvrent sans bruit la porte à l’intrusion du surnaturel.

 

Avertissement :

Cette biographie est expurgée ; les activités inavouables que l’auteur a pu avoir dans le passé sont passées sous silence. On dévoilera seulement qu’il se consacre désormais avec passion à la chasse au dahu.

 

Résumé du livre

 

Ces 55 nouvelles brèves, tantôt, relèvent du genre fantastique – l’intrusion du surnaturel dans la vie ordinaire – tantôt restent dans un cadre réaliste. Elles parlent, pour beaucoup, de mémoire douloureuse, de présences obsédantes émergeant de l’au-delà, de solitude. En contrepoint, quelques textes s’offrent une incursion dans l’humour.

Intenses, habiles, parfois cruels, ces textes courts tiennent en haleine jusqu’à leur chute élégamment suspendue.

 

Extrait du livre

Tu te faufiles au fond de la prunelle dilatée de la nuit. Tu glisses dans le silence de tes pieds blancs. Ta chair exsangue en suspension flotte autour de moi et tes voiles retombent comme une lune somnolente sur ton corps de cire.

Un pâle sourire l’éclaire, qui n’atteint pas tes yeux hermétiques d’empoisonneuse… Es-tu celle que j’ai connue, mais légère, instable, vacillant entre l’existence et la mort ? Un battement de cœur dans les plis d’un linceul ? Qui t’a ressuscitée ? Qui a versé cette vie insuffisante en toi ? Que veulent me dire tes yeux sans lumière ?

Publié dans Présentation

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De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys

Publié le par christine brunet /aloys

De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys
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De nouveaux titres parus aux Editions Chloé des Lys

Publié dans fiche auteur

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Ani Sedent a lu "L'île, elle et nous" de Marguerite Debois

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

La présentation de l’île, elle et nous de Marguerite Debois m’ayant bien intriguée, je me suis fait un plaisir de le commander.

  La lecture est fluide, les chapitres courts et l’ambiance générale vogue entre légèreté et gravité.

  Ce roman nous emmène sur une jolie petite île grecque avec ses maisons typiques, ses plages, la mer et ses touristes, typiques eux aussi, qui se mêlent aux natifs et leurs secrets ; sans oublier ceux qui sont un jour venus et ne sont jamais repartis.   

  Il nous parle de ce qui lie les gens, quel que soit leurs différences, et reste universel : la fragilité de l’existence.

  Il n’est pourtant pas triste ; il observe, il enquête, il interroge, se fait parfois peur et finalement, se laisse lire avec intérêt.

 

Ani Sedent

 

Publié dans avis de lecteurs

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En avant-première, un extrait de Meurtres Surnaturels, volume III : Le Triomphe de Julian Kolovos Par Joe Valeska

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

– Ah ! s’exclama le shérif. Vous êtes là, Pendragon ! Saint-Amant, Camardon, je vous présente Phileas Pendragon. Il nous arrive tout droit du Royaume-Uni et il serait le meilleur enquêteur de son pays. Il va bosser avec nous quelque temps. Désolé de vous avoir demandé de nous rejoindre ici, Pendragon. Quand vous m’avez téléphoné, j’étais déjà en route. Vous avez trouvé facilement ?

Pendragon se contenta d’un : « Hum ! », puis il se dirigea vers la botte de celui qui serait identifié, plus tard, comme étant Nick Mann. Il inspecta la chaussure du mort quelques secondes, sans la toucher, puis, à son grand regret, il déclara d’une voix nette :

– La victime a été dévorée par un alligator de sept mètres. Peut-être huit. Bordel ! Vingt-trois pieds de longueur minimum.

– Mais non, c’est absurde… objecta Camardon. Ces affreux reptiles ne peuvent pas atteindre une taille pareille, voyons ! Jamais ! Sauf, peut-être, dans les films d’épouvante. Beau, oui, mais pas très réaliste !

Pendragon extirpa alors quelque chose de la botte. Une dent.

– Jamais ? Ça, c’est ce que vous croyez, répondit l’enquêteur. C’est très rare, mais on a déjà vu des spécimens de six mètres, et ceci, dit-il en montrant la dent de 2,36 pouces, c’est la dent d’un animal incroyable. Notre ami doit peser plus d’une tonne. Il est certainement plus grand que le Crocodylus anthropophagus, le plus grand prédateur rencontré par les premiers hommes.

– Est-ce que vous nous parlez d’un dinosaure, détective Pendragon ? hésita Saint-Amant. Encore un hurluberlu. Vous arrivez d’où, l’ami ? De Jurassic Park ?

– Je n’ai rien dit de tel, l’ami, mais je dis que la nature est pleine de surprises, bonnes ou mauvaises. Si un alligator géant se promène dans le Mississippi, ça va être l’hécatombe. Plus ils sont gros – il faut le savoir –, plus ils sont intolérants. Et notre Wally Gator, son territoire, il va le défendre. Mais ne vous inquiétez pas, je suis là. Les monstres, ça me connaît… Au fait, vous pouvez m’appeler Phil. Shérif Lafourche, une dernière petite chose, enchaîna-t-il. Je suis le meilleur enquêteur de mon pays. Vous avez utilisé le conditionnel…

 

Novembre 2018

 

Dans le petit salon, tassé dans un fauteuil en velours rouge, Adam sursauta quand il entendit la voix de Julian dans son dos. Il éteignit rapidement le poste de télévision, assez embarrassé, et se leva tout aussi vite, serrant la télécommande dans sa main droite, afin de faire face à son ami.

On aurait dit un adolescent surpris par ses parents au milieu d’ébats amoureux.

Julian, coiffé comme l’as de pique et mal rasé – il n’avait pas dû utiliser son rasoir depuis au moins une bonne douzaine de jours –, l’observa un moment avant de consentir à desserrer les dents. Il le fit précisément quand Adam, agacé par ce silence, allait lui-même ouvrir la bouche.

– Tu faisais quoi, petit frère ? lui demanda alors l’acteur, coupant son jeune ami dans son élan.

– Moi ? Rien de spécial… Je regardais… American Horror Story. Alors, comment tu te sens ? Ça me fait plaisir de te voir ailleurs que terré dans ta chambre. Ça te dirait d’aller faire un p’tit tour ? Je t’emmène où tu veux. On prend ma Corvette. Où voudrais-tu aller ? On fait c’que tu veux.

– Tu regardais Meurtres Surnaturels, menteur, répondit Julian sans émotion. L’épisode où je suis apparu, n’est-ce pas ? Tu fais ce que tu veux, tu sais… Tu n’as pas besoin de me ménager comme tu le fais. Je ne suis pas en sucre.

– Non, je le sais bien, d’Ju’. C’est que… j’aimerais tellement te revoir au sommet de ta forme. Tu me manques, mon frère. D’autre part, j’ai peut-être une piste.

– Je sais, Adam. Quant à ma carrière, elle ne m’intéresse plus. Tu parlais bien de cela, non ? Je suis mort, artistiquement. Mon retour dans Meurtres Surnaturels signifierait le boycott de la série. Ils n’ont qu’à rappeler cet empafé de Wolf et ressusciter Nick Mann. Je m’en moque. J’en ai fini avec le cinéma et la télévision.

– Arrête de dire que ta carrière ne t’intéresse plus, s’il te plaît. C’est un mensonge. Les choses vont finir par s’arranger, je te le promets. Va te raser, maintenant. On va aller faire un tour. Cela te fera le plus grand bien. Et à moi aussi…

Julian haussa les épaules et tourna les talons, bien décidé à retourner s’enfermer dans son antre.

– D’Ju’ ? Mais où est-ce que tu vas ? Mais réponds-moi, putain ! Et merde !

Furieux, le jeune homme le rattrapa et l’obligea à affronter son regard. Il hésita, mais il le fustigea. Comme Julian l’avait souligné, il n’avait pas besoin d’être ménagé.

– Tu veux que je te dise ? Tu commences vraiment à me casser les couilles, d’Ju’ ! (Julian se tint coi.) Oui, tu t’en prends plein la gueule sur Internet, c’est vrai… Mais tu as connu pire ! On a connu pire… Alors…

– Arrête, s’il te plaît, petit frère, s’impatienta Julian. Je ne suis pas d’humeur à écouter un sermon.

– Tu la fermes, maintenant, Julian ! s’énerva Adam. Tu vas monter te raser et prendre une putain de douche ! Parce que je te le jure, tu chlingues.

Prenant brutalement conscience qu’il commençait à déconner grave, mais blessé dans son amour-propre, Julian abandonna son ami sur un : « Je t’emmerde » tremblotant.    

Publié dans extraits

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Edmée de Xhavée signe le trailer de son nouveau roman "Lovely Brunette, tout simplement"

Publié le par christine brunet /aloys

https://youtu.be/VpsJQuGVgS4

Publié dans vidéo, Présentation

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Un article d'Edouard Debelder paru dans Le Courrier pour Bernadette Gérard-Vroman et son recueil poétique "Sérénade à la vie"

Publié le par christine brunet /aloys

Un article d'Edouard Debelder paru dans Le Courrier  pour Bernadette Gérard-Vroman et son recueil poétique "Sérénade à la vie"

Publié dans Article presse

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Le blog "Les lectures de Maryline" a chroniqué "L'île, elle et nous" de Marguerite Debois

Publié le par christine brunet /aloys

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/l-ile-elle-et-nous-a213764307?fbclid=IwAR2ganI8hEkftrUr_zqiaCpiYlwyDQsYu_DIzJlfCJASiN_iOcG5Ll-mXWc

http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/l-ile-elle-et-nous-a213764307?fbclid=IwAR2ganI8hEkftrUr_zqiaCpiYlwyDQsYu_DIzJlfCJASiN_iOcG5Ll-mXWc

 

Résumé de l'éditeur :

 Sur une petite île grecque, un drame familial se joue en trois temps. Dans un coin isolé de l'île, naissance d'Athanasia dans des conditions difficiles. La fillette grandit entourée de parents aimants mais étouffants. Alors qu'elle a quatorze ans, une violente tempête s'abat sur l'île et laisse d'importantes séquelles. Athanasia est portée disparue. On accusera d'abord son professeur de guitare mais pour la police et la plupart des habitants, c'est la crue d'une rivière qui a emporté Athanasia.
Durant l'été qui suit cette catastrophe automnale, un couple de touristes fait une étrange rencontre sur une route isolée. Ils aperçoivent fugacement une jeune fille qui ressemble comme deux gouttes d'eau à Athanasia. Peu après, la maison des parents d'Athanasia disparaît dans une explosion, tuant ses deux occupants. Villageois ou touristes, tous se posent des questions, pragmatiques ou existentielles, au sujet de ces événements choquants.
Remords et soupçons mais aussi compassions et nouvelles amitiés tissent la trame de cette histoire.

MON AVIS :

J'ai beaucoup aimé ce polar ! Car oui, c'en est un, même s'il est très léger et que la couverture ne le fait pas penser.

Nous sommes sur une île, une tempête éclate et la jeune Athanasia disparaît. Son corps n'est jamais retrouvé, tous les habitants de l'île sont sous le choc et les funérailles sont prévues, elle n'a pas pu s'en sortir de toute façon. Les parents sont dévastés, bien entendu. L'un des habitants est entendu, il est le dernier à l'avoir vu vivante.

Un an plus tard, un couple de touristes aperçoit une jeune fille ressemblant étrangement à Athanasia, lors de son séjour sur l’île. Dans le même temps, une explosion détruit la maison des parents de la jeune fille, tuant sur le coup les deux occupants. Mais que se passe-t-il sur cette île d'habitude sans histoires ? Pourquoi le sort s'acharne-t-il sur cette famille ?

J'ai passé un très bon moment de lecture avec cette intrigue passionnante. J'étais persuadée de connaître la vérité assez rapidement mais finalement, l'auteure a su me tromper. Il est parfois un peu difficile de se situer dans le temps, on parle de faits d'il y a 15 ans, puis de ceux de l'année dernière et enfin on revient sur cette année… Bref, on s'y perd un peu, mais finalement on retrouve le fil de l'histoire et on apprécie les différents personnages qui apparaissent dans cette intrigue.

Un grand bravo à l'auteure, j'ai vraiment apprécié ce polar particulier que j'ai lu assez rapidement. N'hésitez pas à découvrir les secrets de cette île…

Publié dans avis de blogs

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Micheline Boland nous propose un extrait du dernier recueil signé Louis Delville "La vraie vérité"

Publié le par christine brunet /aloys

 

 

Une seconde, une minute, une heure

 

Une seconde ! Voilà bien une expression galvaudée le commerçant pressé qui vous dit : "Je suis à vous dans une seconde" ou "Une seconde, j'arrive" et cela dure des heures…

Une minute, une belle unité de mesure pour les sociétés de téléphonie.

Taxation à la minute, dit-on. Taxation à la seconde, réclament les consommateurs  

Une minute pour dire tant de choses à l'être aimé ou une minute de silence, le onze novembre…

Une heure pour le repas de midi, une heure de sommeil, une heure d'attente à l'hôpital. Je me demande toujours si toutes ces heures sont identiques.  À l'école, il existe même des heures de cinquante minutes, c'est vous dire…

Une seconde, une minute, une heure ? Qu'importe, j'ai tout mon temps !

 

Louis Delville 

 

Publié dans Textes, extraits

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Chiara Stella Aquino Benitez signe une présentation de son ouvrage "Si on est une femme convenable"

Publié le par christine brunet /aloys

Publié dans vidéo, Présentation

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Le blog de Maryline a lu et chroniqué le Tome 1 de "Les chroniques de Baltus" de Laurent Dumortier

Publié le par christine brunet /aloys

Le blog de Maryline a lu et chroniqué le Tome 1 de "Les chroniques de Baltus" de Laurent Dumortier

 

Résumé de l'éditeur :

Les Terres de l’Est sont sur le point d’être envahies par Garamon, le fils du Seigneur Cristal, venu venger son père ayant subi une terrible défaite des années auparavant.

Meredin et Baltus, ainsi que leurs compagnons,  vont tenter de mettre fin à l’invasion.

Mais tout ne se passera pas comme prévu.

 

 

Mon avis :

Voici le premier tome d'un récit héroïc fantasy. Je n'aime pas particulièrement ce genre de romans d'habitude mais l'auteur me l'a gentiment offert alors je l'ai ouvert avec plaisir. Et j'avoue que l'auteur a réussi à me captiver. Le rythme est soutenu, les chapitres sont courts, l'histoire est intéressante et on s'attache facilement aux différents personnages.

Garamon, le fils du chevalier Cristal, décide de venger son père vaincu plusieurs années auparavant lors d'une bataille sanglante. Il revient sur les terres que ce dernier a dû quitter après sa cuisante défaite. Les différents clans vivant sur ces terres se lient afin de lutter contre cette armée qui parait vraiment puissante et qui attaque sans prévenir. Ils n'ont qu'une seule solution pour gagner (du moins, essayer de ne pas mourir!), c'est de se réfugier dans le seul endroit de l'ile qui pourrait résister à l'assaut. Y parviendront-ils? Auront-ils le temps d'y arriver avant que Garamon et son armée ne détruise tout?

J'ai été happée par ce récit, j'avais envie de savoir commet tout le monde allait s'en sortir et si la vengeance allait pouvoir être honorée par Garamon. Je n'avais pas vraiment de gagnant préféré ne connaissant que très peu les différents peuples mais finalement, j'avais envie que les deux partis s’en sortent au mieux.

Une lecture très sympa mais il va falloir attendre le prochain tome pour découvrir la suite...

Publié dans avis de blogs

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